| | Mathéo N. Lewis | |
| | Auteur | Message |
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Mathéo N. Lewis
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 10/03/2008
| Sujet: Mathéo N. Lewis Lun 10 Mar - 9:15 | |
| _____ PAPERS OF IDENTITY_____ » Nom : Lewis. » Prénoms : Mathéo, Nicolas. » Age : 22 ans. » Date et Lieu de Naissance : 10 Mars, à Venise (comme vous auriez put le constater, le jeune homme a toujours vécu dans cette ville sans jamais déménager, cependant, il a plusieurs fois visités d'autres pays). » Origines : Les parents de Mathéo sont tous deux français, cependant ils décidèrent de venir vivre à Venise quelques mois après la grossesse de Lily (sa mère), aimant énormément ce pays, et surtout la ville de leur rencontre.
_____PROFIL_____ » Caractère : Le jeune homme est une personne qui est du genre à penser aux autres avant lui même. C'est pourquoi la situation dans laquelle il est en ce moment le met mal à l'aise. Comment faire lorsque son meilleur ami est amoureux de la même fille ? A de nombreuses reprises, Mathéo hésita à quitter les rangs pour leurs bonheurs à eux deux, mais Cupidon devait insister longuement pour qu'il ressente une telle douleur à la poitrine. De toute manière, il savait qu'avec Enzo, tout serait sans rancune, du moins il l'espérait, car de son côté, c'était ainsi qu'il voyait les choses. C'est une personnes plutôt désarmante, il fera tout pour rendre les autres heureux, quitte à y laisser un bout de son âme. Il ne se préoccupe pas réellement de lui, et s'il devait sauver la vie d'un inconnu en risquant la sienne, il serait prêt à le faire. C'est ce genre de personnes qu'on appelle communément héros ? J'espère que non, car chaque être-humain à ses défauts, et Lewis n'échappe pas à la règle. Etant une personne de nature curieuse, cette partie de lui peut parfois être frustrante, tellement qu'il en perd le sommeil. Il a besoin qu'on lui confie des secrets, c'est ainsi qu'il se sent important, et surtout : il déteste être ignoré, être mit de côté. Il ne veut pas pour autant être le centre d'attention, bien au contraire, mais ne supporte pas que ses plus proches amis lui mentent. Par exemple, il ne pourrait apprécier le fait que Dolce et Enzo sortent ensemble sans même lui dire de façon à ne pas le faire souffrir. Ce serait un moment très difficile à passer, au lieu d'un ami, il se sentirait comme un poids qu'on transporte, un poids qui les empêcherait de vivre leur amour naissant. Cependant, si une telle chose arrivait, il ne sait ce qu'il pourrait en advenir. Mathéo se sentirait mal, très mal, étant une personne plutôt rancunière, il pourrait être capable de tout, même si ça concerne ses proches. Il a horreur du mensonge, et tant qu'on est franc avec lui : tout se passe pour le mieux. Néanmoins, si vous avez le malheur de lui mentir, prenez garde à vous, je vous aurez prévenus. Malgré ça, Lewis est une personne très agréable, très plaisant en tant qu'ami. Il est fidèle et surtout : très protecteur. S'en est parfois étouffant, mais beaucoup disent que c'est adorable. Loin d'être un coureur de jupon, généralement, Mathéo n'a que des relations sérieuses, bien que, parfois, il lui arrive que ça ne dure qu'un soir, mais il faut bien assouvir ses désirs, contraire aux femmes, les hommes ont des besoins physique toute les semaines. Sans compter que, en plus de ça, le jeune homme est de nature impatient, et que les conséquences sont similaire à sa curiosité : il en perd le sommeil. Lorsqu'il veut des réponses, lorsqu'il veut qu'un certain jour arrive : il se frustre et se pose bien trop de questions pour pouvoir s'endormir. Il a un caractère bien complexe mais pas vraiment innovant, il faut dire que beaucoup sont dans son cas, et que s'il en rencontrait il serait apte à les comprendre. Mais en définitive, Mathéo est une personne vraiment adorable qui ne laisse que très peut ressortir ses défauts, se montrant parfois trop présent, il est loyal et fidèle avant tout.
» Physique : N'est-il pas beau ? Non, je reformule. N'est-il pas irrésistible ? Il faut dire qu'il est un type bien spécifique, et que, généralement : on aime, ou on aime pas. On ne va pas dire qu'il est repoussant pour autant, et de toute manière, Mathéo n'a jamais eut de problèmes avec les filles, bien au contraire, il n'avait qu'à tendre les bras pour en avoir dix agrippées. D'ailleurs, ce fut un jeu très fructueux qu'il avait l'habitude de faire avec Enzo lors de leur adolescence. Vous savez, ce moment de la vie où on est idiot et écervelé ? Oui, voilà. Ça ne veut pas pour autant dire qu'il a prit la grosse tête, bien au contraire, selon lui, il se trouve tout à fait banal et surtout, ne ressemble en rien à un français (quel dommage, il en aurait été fier). Ses cheveux furent long il fut un temps, mais depuis ses 22 ans, Mathéo avait prit l'initiative de se les couper ce qui lui donna un tout autre genre. D'un couleur ébène, très peu sont les reflets qui viennent s'y incrustrer les jours de soleil, ils sont fins et lisses et ne met que très rarement du gel. Ses yeux d'un vert émeraude sont très perturbant, il dégage un je ne sais quoi qui percute les autres, les envois quelque part, ailleurs, dans un autre univers (oula je m'égare XD). Il n'est pas très grand et dépasse que de très peu les filles de son âge, d'ailleurs, à côté de Enzo, il fait pâle figure. Son meilleur ami étant très grand et sportif on peut avouer qu'ils sont totalement opposés, cependant, on dit bien que les contraires s'attirent, et puis, ainsi, ils font la paire ! Donc, comme vous l'auriez compris, en plus de sa 'petite taille' (s'pas petit partout *zbaffff*) Mathéo n'est pas très musclé, seulement un minimum. Ça ne veut pas pour ainsi dire que c'est un bonhomme en graisse ambulant, non, il est, nous dirons, 'maigrelet'. Mais de toute manière, quand on veut sortir avec un Lewis, on ne regarde pas son corps, mais son visage (si charmant *-*).
» Style Vestimentaire : Il est plutôt varié, mais en cas général, il s'habille dans le basique, portant des jeans et des vestes. Vous pourrez rêver encore des années pour qu'il porte des slims, il déteste avoir l'air d'un gay (il n'a rien contre eux, du moins, tant qu'ils ne touchent pas ses fesses) surtout que ça moule les parties ce truc. Non, Mathéo reste sobre et porte de simple jeans avec des t-shirts ou chemises. Il porte aussi parfois du cuir, mais beaucoup disent que ça lui donne un air 'rebelle', qu'on dirait qu'il n'a toujours pas passé sa crise d'adolescence (de toute manière, étant toujours chez ses parents, il pourrait très bien y être encore).
Dernière édition par Mathéo N. Lewis le Mar 11 Mar - 23:50, édité 4 fois | |
| | | Mathéo N. Lewis
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 10/03/2008
| Sujet: Re: Mathéo N. Lewis Lun 10 Mar - 9:18 | |
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_____BIOGRAPHIE_____ » Famille : La famille Lewis est heureuse et en bonne santé, merci. En des termes plus approfondis nous pourrons dire que c'est une famille plutôt riches qui a commencé à prendre son envol il y a deux générations de cela. Les grands parents de Michel (le père de Mathéo) ont fondé une assurance, et au fil du temps, cette affaire devint une vraie mine d'or. De nature français, les Lewis ont pourtant un nom Anglais, il est porté depuis déjà tellement d'années qu'on ne pourrait définir sa provenance, on ne peut que déduire des origines britanniques. - Michel Lewis, 51 ans, père de famille, Fondateur d'une Association. - Lily Lewis, 48 ans, mère de famille, Journaliste dans un grand magasine. - Mathéo Lewis, 22 ans, fils aîné, étudiant. - Mae Lewis, 17 ans, fille cadette, lycéenne.
» Histoire :
Son enfance, elle se limait à deux choses : sa maison, et le bac à sable.
D'un côté la richesse, un endroit ferme et silencieux où régnait une certaine tension. Les parents de Mathéo avait le malin plaisir de vouloir toujours tout contrôler, jusqu'au moindre fait et geste de leur enfant. C'était limite s'il ne programmait pas ses premiers pas et la première syllabe de son premier mot. D'ailleurs, ce ne fut pas « papa » ni « maman » mais « Enzo ». Etrange perspective, mais cela va de soit lorsqu'on sait que, derrière cette grande maison se trouvait un vaste jardin, et que dans celui trônait l'amitié. Quand on est enfant, on ne se soucis pas de la couleur de peau, de l'argent ou du physique, on se contente de jouer, de s'amuser, on n'hésite pas à deux fois avant de dire ce que l'on pense. C'est accompagné de sa nourrice : Clara, que Mathéo franchissait ce jardin pour se rendre dans ce lieu unique où la présence de ses parents n'était pas requise. Chaque jour, il rencontrait la même personne, il ne marchait pas encore, mais dans le sable, cela importait peu. Ce souvenir, malgré qu'il soit lointain, reste figé dans la mémoire du jeune homme. Cet instant où il eut prononcé son prénom, comme s'ils étaient destinés. Il ne le savait pas encore, mais ce petit garçon allait, dans un futur proche devenir son meilleur ami. A l'époque, il n'était que son copain de jeu favori, mais il lui apportait une grande importance. Ils n'étaient peut-être pas de la même classe sociale, en réalité il l'ignorait et continuait à jouer.
Lorsqu'il dut quitter cet endroit pour se rendre à l'école il fut frustré d'un tel choix. Ne plus voir Enzo, c'était comme lui priver de friandise (chose très importante pour un enfant), et vous ne pourriez imaginer l'expression de son regard le jour de la rentrée lorsqu'il remarqua, avec joie, que cet ami se trouvait dans cette même classe. A partir de là, tout s'enchaina, comme si tout avait été écrit, comme si tout leur était dut. Ils firent les pires bêtises, inventèrent des jeux, et grandissaient ensemble. Ils passaient chaque épreuve ensemble et ne se lassaient jamais d'une nouvelle journée. C'était un plaisir pour Mathéo que de quitter l'ambiance familiale qui était bien trop stricte, bien trop fixée sur les apparences : « si tu fais ceci, ça engendrera cela, etc ». Il n'avait pas même cinq ans qu'il devait se comporter comme un citoyen civilisé. Cependant, il profitait de l'absence de ses parents à l'école pour faire ce que bon lui semblait, quand il voulait, avec qui il voulait. Et il voulait toujours être avec Enzo.
Par la suite, il se transforma en eux.
Par la suite, les deux garçons évoluèrent, et changèrent. La bagarre les intéressait encore, mais il fallait autre chose, il fallait le piment qu'ils n'avaient pas encore trouvé. Chaque jour, ils recherchaient ce manque, cet ingrédient qui pourrait parfaire leur existence. Il était là, sous leur yeux. Ce fut Dolce. Il manquait dans cette ambiance de la féminité, de la beauté et de la grâce. Elle avait beaucoup d'humour, surtout lorsqu'elle nous faisait part de sa maladresse. Ne participant pas réellement aux combats, elle jouait souvent le rôle de la princesse (parce que quand on est môme, c'est comme çaaa, un point c'est tout). Le temps passait, juste pour eux, les cloches de l'église sonnaient. Pour un simple claquement de doigt, ils riaient. En fermant les yeux, ils imaginaient. Pour eux, la vie n'était qu'un vaste jeu. Un jeu qui n'avait qu'une faille : l'âge.
Ils grandirent et changèrent. L'imagination laissa place à la réalité, et alors que Dolce se laissait éprendre par l'amour, les deux garçons du groupes commencèrent eux aussi à trouver un réel intérêt pour le sexe opposé. Ne faisant pas réellement attention à Dolce, ils la considéraient tous deux comme une simple amie et ne pouvait envisager autre chose. C'est donc à deux qu'ils commencèrent à draguer (très jeunes), ayant des physiques plutôt avantageux, ce fut fructueux. Mais vous me direz, à treize, ça ne dépassait pas le flirt. Alors que Dolce souffrait à côté d'une telle indifférence, ces deux derniers ne comprenaient pas qu'avec le temps, elle eut le temps de laisser évoluer son amour pour eux. Trop aveugler par leurs nouvelles trouvaille, ils ne cessaient d'enchainer les nouvelles expériences. Alcool, drogue, filles. C'est à leur seize ans que tout commença réellement. Ils furent allés à une fête et s'étaient enivrés avec seulement quelques verres, mais il fallait avouer que, pour une première cuite, ils avaient tous deux assurés. Mathéo se souvenait de cette nuit que très vaguement, mais le lendemain matin ne lui était pas inconnu. Il s'était réveillé, complètement nu, avec pour seule couverture un drap rose en soie. Ça avait été sa première fois, et il n'en avait eut aucun souvenir. Aucun. Qui avait été l'heureuse élue ? Il ne pouvait le savoir et avait bien trop honte pour demander aux autres de répondre à ses question. C'est à partir de ce moment qu'il prit sur lui et commença à devenir une personne plus calme, plus sereine, plus protectrice, ne souhaitant pas passer une nouvelle fois par là.
Un ou deux mois plus tard, il fit la connaissance de Cassie, une fille d'un ans sa cadette. Il ne pouvait pas affirmer en être tombé amoureux, mais il avait été intrigué, et après quelques jours de flirt commença à sortir avec elle. Ce fut sa première relation sérieuse. Elle n'était pas spécialement jolie, ni même moche. Non, elle était plutôt banale, mais il ne voulait plus. Il ne faisait que s'attacher davantage à un tel caractère, elle n'était pas comme les autres, elle avait un air de ressemblance avec ces filles qu'on ne voit que dans les livres (et oui, Mathéo est une passionné). Il resta avec cette demoiselle durant un an et quelques mois, jamais il n'aurait envisagé que leur relation se termine, il avait prit tellement de maturité avec elle, tellement qu'il en écoutait même ses parents. Contrairement aux autres filles, elle l'avait accepté comme il était et non pour son compte en banque. Lorsqu'elle lui annonça son déménagement, il n'en fut que plus meurtri, mais du faire avec.
La vie continua et il enchainait les relations d'un soir, ne se sentant pas capable de revivre quelque chose de fort de si-tôt, il se contentait seulement d'assouvir à ses besoins physiques. Il était comme ce poussin qui avait perdu son nid, seul, dans une grande maison. Il obtenu par la suite son diplôme, sans aucun problème apparent, il avait toujours eut d'excellentes notes sans trop travaillé. « Ce petit à du potentiel ! S'il l'exploitait davantage, ce pourrait être un génie ! » avait déclaré un de ses professeurs à son père, un commentaire qui leur fit d'ailleurs très plaisir. Ça effaça d'une traite toute les bêtises de leur garnement, ainsi, tant qu'il gardait une moyenne excellente, il pouvait faire ce que bon lui semblait.
Les études de journalisme passionnaient énormément Mathéo, il comprenait quelque peu sa mère derrière cette fonction, et pourquoi elle ne restait que très peu à la maison.C'était d'ailleurs aussi le cas pour le père, et Mathéo soupçonner ses deux parents d'adultère. De toute manière, il ne se rappelle même pas les avoir déjà vue heureux une seule fois ensemble. Sa grand-mère lui avait pourtant dit, un jour, que peu après sa naissance, elle était venu leur rendre visite, et qu'ils semblaient les plus heureux du monde. Ce n'est qu'un an plus tard que tout se dégrada, bien que, pour on ne sait quelles circonstance, Mae naquit cinq ans après son frère. D'ailleurs, je ne l'ai presque pas omit dans cette histoire, mais c'est une personne plutôt solitaire et très silencieuse, on ne la voit que très peu et que, même si c'est sa propre sœur, à chaque fois qu'il la voit, Mathéo à l'impression de faire face à une inconnue.
Un jour soudain vint, où il reçut un appel d'Enzo, ce n'était pas une exception, ils s'appelaient souvent entre eux, mais le sujet était d'autant plus grave. Depuis trois ans déjà, il filait le parfait amour avec une demoiselle – qui était, soit dit en passant, magnifique – cependant, d'après son coup de fil affolé elle aurait eut un accident de voiture et serrait... morte. A l'écoute de cette nouvelle, le cœur de Mathéo se froissa et il rejoint immédiatement son meilleur ami pour lui administrer les soins nécessaire : c'est à dire, une soirée entre pote, juste tous les deux, tranquilles. Lewis savait très bien que ce ne serait pas suffisant, mais c'était déjà mieux que rien, et il ne pouvait le laisser seul, certainement pas à un tel moment de sa vie.
Peu à peu, Enzo surmonta sa névrose, trouvant l'amour dans un autre visage : Dolce. Ce qui était aussi le cas de Mathéo. Ils avaient passé toute leur enfance avec elle, et ce n'est qu'à 22 ans que les deux jeunes hommes commençaient à se rendre compte qu'elle était une femme avant d'être une amie. En ce qui concernait Mathéo, il avait commencé à se poser des questions, petit à petit, jusqu'à que ça en devienne obsessionnel, et qu'il décide de dire que cette « chose », cette souffrance qu'il ressentait, mêlé à du bonheur, au fond de son cœur, ce soit de l'amour. Malgré ce triangle amoureux, le trio semble indestructible. Comme le dirait si bien Enzo : que le meilleur gagne !
» Une Anecdote sur votre Vie Amoureuse : A part Cassie, il n'eut que des relations d'un soir, ou alors qui se limitaient au flirt. Il n'a jamais sut retrouver le même intérêt pour une autre fille, du moins, pas depuis récemment. C'est étrange comme histoire que de savoir, qu'après tout ce temps on commence à éprouve des sentiments pour une personne qui était votre meilleure amie. Il la connaissait depuis ses combats d'épées, et n'en trouvait de l'intérêt sentimental que maintenant. Il ne pouvait se douter que, malgré tout, il lui avait fait beaucoup de mal dans le passé, étant trop fixé vers d'autres horizons, il n'avait pas prit la peine de la regarder. Et aujourd'hui, cela semble être bien trop tard. Au fond de lui il sait qu'il n'a aucune chance et que Enzo est le petit-ami potentiel, mais il ne faut jamais abandonner, telle est la règle des Lewis !
Dernière édition par Mathéo N. Lewis le Lun 10 Mar - 11:02, édité 1 fois | |
| | | Mathéo N. Lewis
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 10/03/2008
| Sujet: Re: Mathéo N. Lewis Lun 10 Mar - 10:52 | |
| _____SI L'ON VOUS FOUILLE ... ON TROUVERA_____ » Dans votre Portefeuille : Vous en avez du courage, son portefeuille est tellement remplie de monnaie qu'on le croirait riche (ce qui n'est pas faux, en un sens). Alors qu'il n'a qu'une vingtaine d'euros sur lui, on pourrait croire rien qu'à la masse qu'il en porte une centaine. Chercher une pièce d'un euro à l'intérieur serait comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Cependant, on peut aussi trouver (plus facilement cette fois ci : merci les poches conçues pour) ses papiers d'identités, de permis (la voiture, quelle merveille) ainsi que (il faut bien l'avouer) deux ou trois préservatifs.
» Tes musiques dans ton I-Pod : Mathéo écoute divers genre de musiques, mais malgré sa nationalité, très peu sont italiennes. Il favorise les musiques populaire américaine ou anglaise, et surtout : les française, de façon à affirmer ses origines. Renaud > Les Mistrals Gagnants (une chanson qui le touche particulièrement, il faut bien avouer que Lewis est une personne plutôt sentimentale parfois) Saez > Jeunes et Cons (une musique qui lui procure de vieux souvenirs, malgré son âge, il ne s'en lassera jamais) Red Hot Chilli Peppers > Dosed (mélancolie : ON) Bob Marley > Don't Worry, Be Happy (tout simplement parce qu'il aime tout de cette chanson, autant les paroles que le rythme, c'est comme une leçon de la vie : ne vous inquiétez pas, soyez heureux) Daft Punk > Harder, Better, Faster, Stronger (qui ne bouge pas au son de cette musique?) Dandy Warhols > We Used To Be Friends (les amis, y'a qu'ça d'vrai, et l'amour aussi)
» Dans ton Grenier : Des vieilles bricoles, mais surtout, SURTOUT, les cadeaux de la grand-mère. Il faut noter que, malgré ses 22 ans, Mathéo vit toujours chez ses parents, et que le Grenier est infesté de vieux objets décoratif que la mère de son père apporte de ses voyages. Elle vit en France et ne descend que très peu en Italie, mais si vous voyiez le désordre que ça crée pour pouvoir tout remettre en place de façon à ce qu'elle ne remarque pas l'absence de ses cadeaux (immondes, soit dit en passant).
_____OTHER_____ » Surnom : Effy. » Age : 16 ans (à la fin du mois 17). » Sexe : Aux dernière nouvelles, je suis bel et bien une fille, (bah quoi, ça brise le mythe avec Milo? oups, sorry, plus de perso' vacants féminins). » Niveau RP : J'ai horreur de me noter moi-même, vous avez certainement déjà du vous faire une petite idée avec ma fiche, pour ma part, j'estime être au dessus de la moyenne, mais après, je ne serais que dire exactement. » Exemple de post : - Spoiler:
C'est plutôt court mais bon, c'est le dernier en liste que j'ai fais (ce matin).
Spachhhhhh. En quelques secondes, l'eau se répandit sur le long des jambes de l'adolescente, ne laissant aucune échappatoire. A chaque coup, se répandant davantage sur ses souliers bon marché. Elle était loin de rire, cette flaque ne lui avait rien fait, et elle profitait de l'occasion d'être seule pour envoyer balader ses pieds sur l'étendue d'eau, violemment, elle ne cessait de reproduire le geste. Les traits de son visage étaient tirés, très bien approprié pour démontrer une haine sans nulle autre pareille, une haine contre soi-même. Elle se pinçait les lèvres, et continuait à frapper le sol, s'éclaboussant au visage, s'éclaboussant à la poitrine, s'éclaboussant tout le long de son corps. Elle ne criait pas, ne voulant rameuter personne au spectacle, elle se contentait de détruire ce semblant d'eau qui s'éparpillait à chaque coup. Jane ne pleurait pas, elle l'avait bien trop fait dernièrement. N'étant pourtant pas une personne fragile, chaque jour la rendait plus émotive. Loin de lui. Loin de Jake. Elle savait que tout était de sa faute, et que sa souffrance, elle ne la devait qu'à elle même, qu'il était bien trop facile de tout remettre sur le dos de la drogue. Si elle avait eut la force de surmonter cette épreuve, tout aurait pu se passer merveilleusement bien. Effectivement, tout était de sa faute. Si elle sentait son cœur se déchirer davantage chaque jour, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle même. Si sans lui, elle s'ennuyait, ne trouvant plus aucun but dans la vie, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle même. Le fait de se défouler sur une flaque n'arrangeait en rien sa haine, provoquant davantage son mal-être. Ce n'était pas agréable, ce sentiment de cupidité qui l'envahissait chaque jour davantage. Elle aurait aimé que la vie soit belle sans aucun problème. McLowsky prenait peur, elle avait l'impression qu'à chaque seconde, elle le perdait, qu'il se recréait une nouvelle vie, une vie dans laquelle elle n'avait pas sa place. Tellement peur. Mais ce dont elle ne se rendait pas compte, c'était qu'elle reproduisait ce schéma avec lui. Le fuir, lui demander de partir, n'offrait aucune possibilité au jeune homme de renouer avec elle. Mais elle ne le pouvait, et lui ne pouvait comprendre. A chaque fois qu'elle y songeait, MJ avait bien trop peur, que devait-il penser d'elle ? Il ne connaissait pas même ses raisons, il était fuit au dépourvus, et ne pouvait comprendre.
Comment pouvait-elle se faire pardonner alors que la peur rongeait son courage ? Sans compter le fait, que sans prévenir, il avait prit ses ailes et s'était enfuis de leur seul lieux encore commun : l'orphelinat. Ce jour là, Jane avait eut l'impression qu'il répondait à son message, lui disant Adieu. Depuis ce jour, elle n'avait cessé de le chercher au Lycée, mais sans succès. Elle ne voulait pas lui parler, seulement le voir pour être sûr qu'il était toujours là. Etait-ce trop demandé que d'attendre ? MJ avait bien trop peur qu'il se frustre et abandonne. Elle se détestait de lui faire subir une telle épreuve, et à chaque pensée fouettait la flaque une nouvelle fois. L'eau se mêlait à son mascara qui dégoulinait le long de ses joues, créant comme des larmes noires artificielles. Elle n'avait que bien trop éparpillée l'eau pour espérer y lire son reflet, et prit ça comme un coup de chance, puisque voir son visage dans un tel état lui aurait sûrement déchiré le cœur à nouveau, lui balançant une dure réalité à la gueule. Jake. Son visage se dessina dans son esprit, souriant. Jane se pinça une dernière fois la lèvre puis se laissa tomber au sol, genoux en avant qui s'écorchèrent à l'encontre du goudron. L'adolescente ressentait la douleur, mais elle n'était pas plus importante que celle de son cœur. En réalité, c'était... indescriptible. Jamais elle n'avait ressentie une telle souffrance, ça dépassait les limites du physique, elle aurait choisit de se casser un bras si ça lui permettait de retirer ce poids qui pesait plus lourd chaque jour. De nouvelles larmes commencèrent à perler sur ses joues, cette fois-ci bien réelles, se mêlant avec le noir de son mascara.
Tous les ans, elle avait été la première à lui dire « Joyeux anniversaire, Jake », sans exception, elle s'enfuyait de sa chambre pour le retrouver, lui faisant souffler quelques bougies, juste avant de fumer quelques pétards. Elle lui offrait son cadeau, puis ses lèvres, et le lendemain, ils faisaient comme si de rien ne s'était passé. Comme si, à chaque défonce, ils reniaient leurs sentiments. Jane ne savait plus où se mettre, elle n'avait put lui souhaiter son anniversaire cette année, qui plus est, le plus important : ses dix-huit ans. Elle n'avait aucune excuse, aucune, elle aurait put trouver un moyen qui lui permettait de lui souhaiter sans même lui parler, donc indirectement. Mais c'était trop dur, la peur tout ça, vous voyez ce que je veux dire depuis tout à l'heure au moins ? Jane lâcha un sanglot, elle ne supportait plus une telle situation. Quitte à replonger dans la drogue, elle hésitait. Quitte à redevenir cette consommatrice dépendante, elle hésitait. Parce que c'était Jake, et qu'il était irremplaçable. Irremplaçable.
Soudain, elle entendit du bruit, les flaques étant présentes tout le long de l'allée, c'était surement un passant qui entrait dans celle-ci. Préventive, Jane commença à mettre ses mains sur ses yeux, se cachant le visage de façon à ce que le passant qui venait d'entrer ne la reconnaisse pas (si du moins, il la connaissait, mais étant plutôt proche du lycée, il y avait de forte chance). Puis elle priait, et continuait à pleurer, encore, cette névrose. » Comment trouvez vous le forum ? Excellent, j'aime énormément le design et le concept est innovant. Ça fait déjà quelques jours que j'essaie de résister, mais finalement.. j'ai pas pu ^^' » Où avez vous connu le forum ? Arf, vous me posez une colle, par Partenariat il me semble. » Avez vous lu le Règlement ? - Spoiler:
Sweet Loveeeeee, ah ah =). » Avatar : Milo Ventimiglia.
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| | | Ambre Fawlay Admin.Mila ♥ You Know You Love Me
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| Sujet: Re: Mathéo N. Lewis Lun 10 Mar - 10:54 | |
| c'est parfait, plus que la partie anecdotes et c'est validé.
Bienvenue à toii!! | |
| | | Mathéo N. Lewis
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 10/03/2008
| Sujet: Re: Mathéo N. Lewis Lun 10 Mar - 11:04 | |
| Merci =). C'est ajouté . | |
| | | Ambre Fawlay Admin.Mila ♥ You Know You Love Me
Nombre de messages : 180 Date d'inscription : 27/02/2008
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| Sujet: Re: Mathéo N. Lewis Lun 10 Mar - 14:19 | |
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| | | | Mathéo N. Lewis | |
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